A-propos
“Matières vives”
“Matières vives” est un voyage d’étude ayant pour objectif de rencontrer des acteurs de filières de matériaux «bio-sourcés, géo-sourcés et éco-sourcés» afin de mieux comprendre et diffuser leurs savoir-faire.
Ces dernières décennies le matériau devait être rapide à mettre en œuvre, flexible, pérenne, il devait apporter des réponses multiples tout en étant unique. La matière qui composait alors nos murs, nos toits, nos sols était souvent une matière transformée: le béton. Un matériau résistant qui a permis d’ériger des chefs-d’œuvre architecturaux qui ont marqué et marquent encore nos villes et nos vies. C’est une époque moderne qui nous précède ou les espaces ont été repensés parfois sublimés, mais les “matières vives” oubliées.
Nous voyons aujourd’hui une volonté de l’ensemble du milieu de la construction de redécouvrir des matériaux “frugaux”, “simples”, “sobres”. Des matériaux qui ont servi à construire des architectures vernaculaires, des matériaux biosourcés par exemple. La réglementation environnementale 2020 indique d’ailleurs dans les objectifs à venir pour “les bâtiments de demain” qu’il faut “construire le plus souvent puis systématiquement avec du bois et des matériaux biosourcés”, et également de “prendre en compte l’ensemble des émissions du bâtiment sur son cycle de vie, dès la construction”.
Le biosourcé, le cycle, le vivant sont des notions avec lesquelles, architectes, maîtres d’œuvres, maîtrise d’ouvrages et entreprises doivent composer pour construire. Des notions qui doivent nous accompagner pour construire “les villes de demain”.
L’application de cette RE2020 devait prendre effet fin 2020, mais a été repoussée à l’été 2021 suite au COVID 19. Même si la réglementation E+ C- ou la RT 2012 ont fait doucement modifier les modes de conception des architectes et maîtres d’œuvres contemporains, le matériau le plus utilisé en 2020 dans le milieu du BTP reste le béton.
Cela peut se comprendre pour de multiples raisons: son prix, sa facilité de mise en œuvre, le savoir-faire des filières bétons françaises . Toutefois à l’aube de l’application de la nouvelle stratégie environnementale les acteurs de la construction devront composer avec d’autres matériaux... vivants, recyclés, réemployés.
Le projet “matières vives” est mené par deux jeunes architectes, Clément Vignes et Camille Desille qui ont fait le choix de réaliser une recherche en France et en Europe afin de découvrir des lieux de productions de matériaux frugaux.
Ils travaillent aujourd’hui en collaboration au sein de l’atelier Fasea, atelier d’architecture et d’illustration fondé en 2021 .
Pour nous contacter:
“Matières vives”
“Matières vives” est un voyage d’étude ayant pour objectif de rencontrer des acteurs de filières de matériaux «bio-sourcés, géo-sourcés et éco-sourcés» afin de mieux comprendre et diffuser leurs savoir-faire.
Ces dernières décennies le matériau devait être rapide à mettre en œuvre, flexible, pérenne, il devait apporter des réponses multiples tout en étant unique. La matière qui composait alors nos murs, nos toits, nos sols était souvent une matière transformée: le béton. Un matériau résistant qui a permis d’ériger des chefs-d’œuvre architecturaux qui ont marqué et marquent encore nos villes et nos vies. C’est une époque moderne qui nous précède ou les espaces ont été repensés parfois sublimés, mais les “matières vives” oubliées.
Nous voyons aujourd’hui une volonté de l’ensemble du milieu de la construction de redécouvrir des matériaux “frugaux”, “simples”, “sobres”. Des matériaux qui ont servi à construire des architectures vernaculaires, des matériaux biosourcés par exemple. La réglementation environnementale 2020 indique d’ailleurs dans les objectifs à venir pour “les bâtiments de demain” qu’il faut “construire le plus souvent puis systématiquement avec du bois et des matériaux biosourcés”, et également de “prendre en compte l’ensemble des émissions du bâtiment sur son cycle de vie, dès la construction”.
Le biosourcé, le cycle, le vivant sont des notions avec lesquelles, architectes, maîtres d’œuvres, maîtrise d’ouvrages et entreprises doivent composer pour construire. Des notions qui doivent nous accompagner pour construire “les villes de demain”.
L’application de cette RE2020 devait prendre effet fin 2020, mais a été repoussée à l’été 2021 suite au COVID 19. Même si la réglementation E+ C- ou la RT 2012 ont fait doucement modifier les modes de conception des architectes et maîtres d’œuvres contemporains, le matériau le plus utilisé en 2020 dans le milieu du BTP reste le béton.
Cela peut se comprendre pour de multiples raisons: son prix, sa facilité de mise en œuvre, le savoir-faire des filières bétons françaises . Toutefois à l’aube de l’application de la nouvelle stratégie environnementale les acteurs de la construction devront composer avec d’autres matériaux... vivants, recyclés, réemployés.
Le projet “matières vives” est mené par deux jeunes architectes, Clément Vignes et Camille Desille qui ont fait le choix de réaliser une recherche en France et en Europe afin de découvrir des lieux de productions de matériaux frugaux.
Ils travaillent aujourd’hui en collaboration au sein de l’atelier Fasea, atelier d’architecture et d’illustration fondé en 2021 .
Pour nous contacter:
- Contact : contact@atelier-fasea.com
- Téléphone : 0638846571
- Website: https://atelier-fasea.com/